àlarecherchedutitre ♣ SKYE-JAGGER

So wonderful personality



▬ Généreuse ▬ Souriante ▬ Coquette ▬ Active ▬ Douce [col

▬ Impatiente ▬ Colerique ▬ Susceptible ▬ Impulsive ▬ Tetue

Skye-Jagger c'est un seul prénom, mais tout le monde l'appelle simplement Skye. Ca ne la derange pas tellement, bien qu'elle soit fiere de son prénom. C'est toujours mieux que Daniel.
Elle se touche tout le temps les cheveux, c'est une manie ou elle adore simplement la douceur. Elle n'en sait rien, elle les touche c'est tout.
Peu de gens savent son passé "d'homme". Ceux au courant sont très proche de Skye, car elle n'ira pas le dire à tout le monde, déjà qu'elle est lesbienne. Ca ne ferait qu'empirer les choses.
Skye-Jagger, c'est une danseuse d'exeption. Elle est si souple, si pleine de grace et d'emotion. Elle aime la danse, sentir la musique. C'est sa passion, et elle est fière d'elle.
Elle parle encore à sa mère dès qu'elle peut en lettre. Mais elle ne veut plus jamais parler à un autre membre de sa famille, ou du village. Mais un jour ce sera son grand-frère qui lui répondra, pour lui annoncer le suicide de sa mère du à la maladie.
Elle a vraiment un sale caractère, mais il y a aussi du positif en elle. Elle a vécu des évènements assez traumatisants dans le passé, elle n'aime donc pas se confier et n'ai pas des plus fétarde.
Skye-Jagger a un chat noir avec le nez blanc. Elle entretient avec elle une complicité incroyable, même si ce n'est qu'un animal. C'est pour elle comme un enfant, car du à sa maladie elle ne veut pas en avoir pour mourir par la suite.
Elle aime les femmes. Celles avec un caractère aussi dure que le sien, avec un beau sourire. Les femmes sont plus douces que les hommes, et au moins elles ne jugent pas Skye. Du moins la plupart. Elle n'aime plus les hommes depuis que des crétins ont essayés de la violer dans son ancien village.

The Castro & me, a love story ... or not !

About me

Citation :

▬ prénom/pseudo ; Eléonore
▬ âge ; 14 ans
▬ où avez vous trouver le fo ? ; Bazzart
▬ code ;

Spoiler:

▬ un commentaire ? ; Quelle superbe idée de forum

This is a true story

Après un mois tout entier d'absence dans mon pays, je revenais à la maison. Je vivais un petit village dans le Nevada, pas bien connu, mais tout de même bien habité. On avait plein de champs, mais on avait tout de même à des salles de jeux pour nous les jeunes, et plein d'endroit pour se détendre. Même une piscine et un beau maitre nageur. Mais moi c'était pas mon truc les hommes, encore heureux car ici les gays étaient vraiment mal jugés. Après un moi d'absence, et un retour explosif, je serais moi-même, la honte du village. Moi c'était Daniel Stevens, fils des Stevens, avec deux soeurs et un grand frère. Une famille heureuse, des enfants intelligents et souriants, sauf un. Moi Dany, je n'étais pas les autres, j'étais bien different. Je ne pensais pas homme, je pensais femme, et ce depuis toujours. Et un jour, en economisant, je me suis rendue à New-York voir le meilleur des chirurgiens plastique. Et je suis resortie de là en mademoiselle Skye-Jagger Stevens. Je suis resortie femme, belle et enfin heureuse. Mais jamais je n'aurais cru qu'en rentrée dans ma ville natale, j'allais être confronter à toutes ces horreurs. Je voulais me faire passer pour la cousine de Daniel, mais mes soeurs sont directement allées dire à tout le monde que j'avais changé de sexe. Ce fut par la suite un enfer, on m'insultait, me frappait, on a même tenté de me violer pour rigoler. J'en ai versé des larmes, j'aurais même voulu me tuer. Tout ces efforts, tout ce bonheur que je voulais avoir, ma vie s'est transformée en cauchemard. Alors un jour, j'ai fait mes valises. J'ai descendu les escaliers, ma belle famille parfaite dans la cuisine. Comment vas-tu bel homme. Ah non, c'est vrai t'as changé de sexe ! Dit ma soeur avant d'exploser de rire avec tout le monde, sauf ma mère. Elle a toujours été là pour moi et n'a jamais eu honte de moi. Elle me soutenait, et c'est elle qui m'a donné l'argent pour quitter le village et rejoindre un quartier où les gens comme moi sont acceptés. Castro. Mon nouveau rêve. Quel humour ! Tu seras ravie de savoir que vous m'avez tellement pourri la vie que je pars. Ils me regardèrent choqués. Plus un mot, je marchais valises en main jusqu'à la porte. Et tu pars où ? Quelque part où j'aurais une vraie famille, et pas des connards comme vous. Mon père se leva brusquement, et me fouta une claque. Une larme s'échappa de mon oeil, je souris, quittant la maison. Tout le monde sortit, ma mère arriva et m'embrassa. Bonne chance ma fille. Sache que je t'aimerais toute ma vie. Je souris une nouvelle fois, longeant la longue route qui conduisait à la fin de la ville. Je quittais enfin cette ville qui m'a apporté que tristesse et desespoir. J'avais un rêve, un espoir là bas, à Castro. Je voulais refaire ma vie. Un belle vie.

Du côté positif, mourir est une des rares choses que l'on puisse faire aussi bien couché que debout.

Je mettais mes chaussures noires à talon, doucement, essayant de retenir mes larmes. Depuis l'age de quatorze ans, j'avais décidé de ne plus jamais pleurer, même lors des pires moments, de garder la tête haute. L'homme de ma vie, enfin l'homme que je croyais être celui de ma vie, m'avais largué pour une autre fille, bien plus belle que moi, et bien plus maigre. Faut dire qu'à cet age, je faisais quatre-vingt kilos, et oui j'ai bien prrdu avec le temps. J'ai pleuré pendant tout une semaine, et le dernier jour j'ai décidé que c'était la dernière fois. Et je ne pensais vraiment pas que je tiendrais aussi longtemps, aujourd'hui j'ai vingt-quatre ans, et j'ai pas pleuré depuis. Mais aujourd'hui tout est different. J'ai perdu une part de moi-même, ma mère. Celle qui m'a fait, qui m'a élevé, et même si elle n'était pas fière de ce qu'est devenue sa fille, elle a toujours été là pour m'encourager. C'était mon model, si belle, si gentille, si parfaite. Toute ma vie j'ai voulu lui ressembler, et aujourd'hui je ne peux même pas lui dire à quel point elle comptait pour moi. Elle était atteinte de la maladie de Parkinson, une maladie qui s'attaque au cerveau, qui te rend folle, car c'était le cas de le dire, ma mère était devenue folle de cette maladie. Elle a donc mit fin à ses jours, une balle dans la tête. Façon rapide et sur de se suicider, et ça me détruit. Qu'il n'y ai pas encore de traitement pour cette maladie. Je pris mon manteau, demandant un taxi dans la rue. J'avais rendez-vous à l'hopital. Je n'allais pas à l'enterrement, je n'aurais jamais tenu, avec tout ces gens tristes pour toi. J'aurais craqué. Mademoiselle Stevens ? Demanda un medecin assez jeune, grand avec un sourire. Je me levais de la chaise où j'étais installée depuis une dizaine de minutes. Elle même. Dis-je en tendant la main au docteur. Il me tendit la sienne, et me fit entrer dans son bureau baissant la tête. Je savais ce que cela annoncé. Une mauvaise nouvelle, une terrible même. Asseyez-vous, je vous en pris. Je fis ce qu'il me demanda, otant mes boutons. Un dossier à la main, il ne me regardait pas dans les yeux. Cela se voyait qu'il n'avait pas l'habitude. J'ai eu les résultats aux examens de la dernière fois. Me dit-il d'une petite voix, il prit un peu d'assurance et respira un grand coup. Alors ? Demandais-je calmement, alors qu'en réalité j'étais totalement paniqué, que j'avais juste envie de partir en courant, de fuir ce monde. Je sais. Je ne suis ma sotte, j'imagine que j'ai quelque chose de plus ou moins grave pour que vous soyez comme ça. Il me regarda enfin, respira encore une fois. On a découvert que vous aviez une maladie grave, qui s'attaque au cerveau et n'apparait qu'entre quarante-cinq et quatre-vingt-dix ans ... La maladie de Parkinson ... Dis-je sans hesitations, sure et certaine que je portais la même maladie que ma mère. C'était donc génétique cette merde, et j'allais creuver sans avoir fait une vie. Car je ne voulais pas, pas me faire une famille, laissant mes enfants sans mère car celle-ci s'est suicidé, souffrant bien trop. En effet, mais comment le savez-vous ? On enterre ma mère cette après-midi. Elle avait cette maladie, et s'est suicidé avant de mourir seule ... Finis-je en fondant en larme. Je n'avais pas pleuré depuis mes quatorze ans, mais là c'était trop. Je voulais un avenir et une famille, je voulais tout ça, mais je ne pouvais pas car une putain de maladie m'en empecherait. Je pleurais alors, rejetant les larmes que je n'aie pas écoulé de toutes ces années. J'étais vouée à ça, mourir de la maladie de Parkinson ...